Aujourd’hui connue sous le nom CBM pour Centre Bouddhique Mahayana, la OKC a été placée sur la liste des organisations dérives sectaires dans les années 90 puis des perquisitions ont eu lieu en 1997 qui ont été noyée dans le poisson par un savant mélange de manipulation des autorités françaises locales et à l’échelle nationale, par des recours en justice, par le fait d’avoir sciemment caché la vérité sur les abus sexuels en son sein dans le but de préserver l’organisation, d’avoir déporté une partie des potentiels victimes hors de France puis de les avoir caché lors des perquisitions de police, d’avoir mis en place une loi du silence contre les victimes, de les avoir dérivé de toute possibilités d’éducation et d’adaptation à la société (1ère et 2ème génération) d’avoir mis des bâtons dans les roues de la Justice en France et en Belgique pendant des années, d’avoir eu recours à des avocats adeptes de la secte pour défendre ses intérêts, d’avoir provoqué et en fin de compte bénéficié du délai raisonnable largement dépassé après 20 ans d’instruction en bénéficiant d’acquittement pour les architectes tant financier et social du système OKC, de s’être parjuré devant les juridiction du parquet de Bruxelles et de Liège, d’avoir manipulé les cours de justice dans le but d’éviter toute condamnation.
Mais ce n’est pas fini, la direction de la OKC doit être mise en examen en France, la justice française doit faire son travail, rouvrir pleinement le dossier OKC qui en France en 2003 avait été classé dans un non-lieu partiel avec renvoi des crimes d’abus physiques et sexuels contre des mineurs dans les procédures en Belgique, elle même sous-instruites, ce qui a provoqué les sursis ou acquittement et reconnu sous emprise de la direction OKC Belgique.
En France, les victimes parties civiles n’ont jamais été jugées en Belgique, la France doit prendre ses responsabilités et incarner la justice que les victimes de la OKC méritent.
Le temps passe. La Justice s’estompe